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Prologue

La décision de quitter la ville pour s’installer à la campagne murissait depuis plusieurs années dans l’esprit de Monsieur et Madame Morin-Diallo. Les problèmes d’asthme de Sarah, la petite dernière, et les plaintes incessantes des voisins lorsque les jumeaux Lucas et Salomon jouaient dans la cour de leur résidence du centre-ville de Lyon avaient fini par les convaincre de faire le grand saut. Alors, un matin d’août, les cinq Lyonnais accompagnés de leur chien et de leur chat s’étaient installés dans un coin reculé d’Ardèche au bord de la rivière la Bourges, dans une jolie maison de pierre abandonnée depuis seulement six mois. La santé déclinante du couple de retraités qui y avait vécu les avait poussés à rejoindre la vallée non loin d’un centre hospitalier et des services qu’il proposait aux personnes âgées. Les parents Morin-Diallo, Laurence et Driss, tout sourires, se réjouissaient. Enfin ils réalisaient leur rêve, offraient à leurs enfants de sept et douze ans un cadre de vie proche de la vie sauvage, où l’air était peu pollué et qui permettrait à leur progéniture d’évoluer au grand air, dans un milieu sain au plus près de la nature. Dès les premiers jours, la respiration de Sarah se fit plus fluide, aucun accès de toux à déplorer, son teint s’était éclairci, elle était radieuse, son père et sa mère s’en félicitait. Quant aux garçons, ils n’en revenaient pas de disposer d’un terrain de jeu qui leur semblait illimité. Ils couraient dans les bois, dévalaient les pentes à s’en couper le souffle, sautaient dans les cascades, s’aspergeaient d’eau dans la rivière, hurlant et riant sans déranger personne, un vrai bonheur.
Or, ce dont aucun d’entre eux ne se doutait, c’était que le vide de la maison qu’ils venaient d’investir n’était qu’apparent. En effet, cachés dans les nombreux recoins des deux étages que les Morin-Diallo occupaient, ainsi que dans le grenier, dans la cave, au beau milieu de ce qui avait été un potager, sur la rivière et partout sur ses rives, fourmillait un grand nombre d’espèces de la faune et de la flore locale. Des bactéries invisibles à l’œil nu, des insectes plus ou moins faciles à vivre, des reptiles surtout de petites tailles, des mammifères petits et grands, jusqu’aux oiseaux qui volaient librement au-dessus de la nouvelle demeure de Laurence et de Driss. Sans le savoir, les cinq bipèdes citadins et leurs deux animaux de compagnie bouleversaient tout un écosystème qui avait appris à exister sans devoir composer avec des humains.
Laurence entreprit d’abord de s’occuper du jardin qu’elle voulait rendre joli. Elle s’arma d’une énorme paire de ciseaux en métal et d’autres ustensiles et commença par se charger des mauvaises herbes : elle défrichait, éliminait toutes les plantes qui lui semblaient laides ou inutiles, une hécatombe. Dans la remise, Driss fut ravi de trouver une tondeuse à gazon dont le réservoir contenait encore suffisamment de carburant. Afin de rendre les alentours de leur propriété plus ordonnée, il sortit l’engin, et l’alluma. Un bruit de moteur vint perturber le calme à une centaine de mètres à la ronde, semant l’effroi dans la nature, d’autant que la fumée noire qui s’en échappait était irrespirable. Alors qu’ils jouaient dans le lit de la rivière, les deux garçons n’hésitaient pas à s’emparer de cailloux qu’ils jetaient à la surface pour s’éclabousser, sans se rendre compte qu’ils retiraient leurs abris à des crustacés livrés subitement sans secours aux attaques de leurs prédateurs. Leur chien, encore jeune et turbulent, ne sachant plus où donner du museau, pourchassait les papillons affolés, creusait la terre en arrachant les racines nécessaires à la survie des plantes, ses jeux détruisaient aussi l’habitat d’insectes incapables de vivre au grand jour. Le chat aussi jubilait, il avait à sa disposition un vaste terrain de chasse où les rongeurs dont il raffolait, découvraient bien trop tard son habileté et sa redoutable efficacité. Le petit félin ne mit pas vingt-quatre heures à s’adapter à son nouvel environnement, il en devint le principal prédateur.
En se rencontrant, deux univers qui n’aspiraient pourtant qu’à vivre en paix entraient en collision. Mais, ignorés par les humains, c’était au monde des plantes et des animaux de réagir, d’observer attentivement le comportement des nouveaux venus afin de s’y adapter, puis de trouver rapidement les moyens de cohabiter avec ceux qu’ils considéraient comme des intrus qui leur compliquaient l’existence.



Il pleut des mots
Marc Alexandre OHO BAMBE
xxxxx xxxx xx xxxxxxxx, x’xxxxx xx xxxx. xxxx xxxxxxx xx xxxx, xxxxèxx xx xxxxxxxxx xxxxxxx. xx xxxx xx xxxx xxx xxxxx, xxxxxxxx xxx xxxxxxx, xxxxxxx xx xxèxx. xx xxxxx xx xxxxxxxx x’xxxxxxxxx, x’xxx x’xxxxxxx xxxxx xx xéxxxxxxxx xxx xxxxxxxx xxxxxx à xxxxx. À xxxx xxxxxx x’éxxxx, xxxxxxx. xx. xxxx xxx xxxxéxx xxxx xxx xxxxxx xx xxxxxxx, xx xxxxx. xxx xxxx xxx xxxxxxx, (...) /> Il pleut des mots, d’azur et d’espérance.
Des mots qui dansent, des mots, qui chantent, des mots, qui slament, des mots qui maudissent la fatalité, des mots, qui disent "va, vis, vibre, libre deviens", des mots, chevaux de feu qui courent le coeur, des mots, qui tracent chemin sur la mer.
Il pleut, des mots.

SCRIPT | Marc Alexandre OHO BAMBE
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2/ Après la pluie le beau temps...
Collège Gilbert Dru 3
xxxxxxx xx x’xxxxxxx xx xxxx xé.x xxxx ... … xxxxx xxxx xx xxxxx xxxxxx, xxxxxxxx xxx xxxxxxx xxxx xx xxxxxxx xx xxx xxxx . xxxx xéxxxxxxx xx xxxxx, xxxxxxx, xxxxxx xxx xxxxxxx xx xx xxxx xxxxxxxxx xx xxxxxxxx. xxxxx xéxx ... xxxxxxx, xxxxxxx xx xxx à xxxxxx xxxx, xxxx xxxxxx xxèxx xx xxxxxxx xx xxxx xxxxx xxxxxxxx à x’xxxxxx. xxxxxx ... xxxxx, xxxxxxxx à xxx xxxxxxx, xxxxx xx x’xxxxxx, à xxxxxx xx xxxxxxxx xx xx xxx x’xxxxxxx. xxxxx ... x’xxxxxx, xxxxxxxx xx xx xxx, xxxxx xx xxx xxxéx, xéxxxxxxx xx xxxxxxxx xxxxxx. xxxxx … xxxxxxxx xx xx xxxxxé xxxxxx xx xxx. xxxxx ... xxxxxx xxxxxxxx xx xèxx, êxxx xx xxxxx xxxxxx xx xxxxxxx xxx xxxx. xxxx … xxxxxxxx xxx xxxxxxx, xxx xx xxx x’x xxxxé, xxxxxxxx, xxxxxxxx, Éxxxxx, xx xxxx, xxxxxxxx, xxxxxxxxxx, xx xxxxxxxx, xxxxx, xxxxxx, xx xxxxxx. xxxxxx … xxxxxxx xxxx xx xxxxxxxx xx xxx xxxxx xxxx éxxxxxx xx xxxx xxxx, xxxxxxx xxxx xx xxxxxxx xx x’xxxéxxx xxxx xxxx xxx xxèxxx xxxxxxxx xxxx xxéxx xx xxxxx xxxxxxx xx xxx. xxxxxx … xxxxxx xxèxx xx xèxx x’xxxxxx xxxxx xx xxxx x xx xxxxxxxxxx xxxxxxxx xx xxx xxxx xxxxxx xxx xxxxx xxxxx xx xxxxxx xxx xxxxx xxxxxxxx x’xxxxxx xxxxxxxx xxxx xxxxxx. xxxxxx ... xxxxx xx xx xxxxx xxxxxx xx xx xxx xxxxxx, xx xx xx xxxx xxx, xx xxxxxx xxxx, xx xxxxxx xx xxxxxx xxxx. xxxx … xx xxxx xé xxxx xêxxx xxx xxxx xxxxéx xxxxxxxx xx xxxxxxxxx xxx xéxxxxéx xx xxxxxx xxxxxxx xxx xxxx xxxx xxxxxxx. xxxxxxéx ... xxxxx, xxxxxxxx xxx xxxxxxxxx, xxxxxx, xxxxx xxxx xx xxxxxxx xx xxx xxxx, xxxx xxxxxxxxxx xx xxxxxx, xxxxx xx xxx xxxxxxx xx xx xxx xxxxxx, Êxxx xxxxxxx, xxxxx xxxx xxxxxx. xxxxxx … xxxxxxxx, xxx xx xxxx xx xxxxxx xxxxxx xxxxxx xx xxxxxx, xxx xxxxxxxxx, xxxxxxxxxxx. xxxxéxxxx xx xxxxxx xxxx xx xxxx xx x’xxxxx. xxxx … xxxxx xxxx xxxxxx xx xxxx xxx xx xxxx xxx xxéxxxxxxx. xxxx xx xxxxx xxxxx xx xxxx xxxx xxxxx xx xxx, à xxxx xx xx xxx xx xxxx-xé xxx xx xxxx-xé xxxxx xxxxx xx xxîxxx, xêxx xx xé-xxxx x xéxx xxxxx xx xxxxxx. xxxx … xxxxx xx xxx xxxxxxx. xxxxxx ... xxxxx xxx xxxxx xxx, xxxxx x’xxxxxxx xxéxxxx, xxxxxxx xx xxxxxxxxxx xxx xxxxxxx. xxxxxx … xxxxx, xxxx, xxxxxxx, xxxxxxxxx, xxxxxxxxxx, xxxx, xxxxxx, xxx xxxxxx xx xx xxx xxxxx. xxxxx xx xxxxxx x’xxxxx xxx-xêxx. xxxxxxxxx xx xxxxxxx. xxxxxxxx xx xxxxxx xx xx xxxxxx. xxxx xxxxxx xxxxxxxxxx ! xéxxxxxx xx xx’xx x xxxx xx xxxxxxxxxx xx xx’xx xxxx xxxxxxxxx. xxx xxx xxxx xxx x’xxxxxx xx x’xxxxxxx xxx xx xxxx. xxxxxxxx … xxxxxx xxèxx xx xèxx, êxxx xxxxxxxx, xxxxxxxx xx xxxxxx xxxxxx, xxxxxxxxxx xxx xxxxxxx, xxxxxxxxx xxx éxxxxxxx xx xx xxx xxxx xxxxxxx xxx xxxxxx xxxxx xx xxxxx. xx xxxxxxx xx xxxx xéx xxxx xxxxxxxx xx xx xxx xxx xx xx x xx’xxx !!! xxxéxxx ... xxxxx xx xxxx xxxéx, xxxxx x’xxxxxxx xxéxxxx, xx xxxxxxx xxxx xx xxxxxxx xx xxxxxxx. xxxxxx … xxxxxxx xxxxxxx xxxxxxx x’xxxxxx xxxxx Éxxxxxx xxxxxxxx xêxxx xxxxx. xxxxxëxxx xxxxx, xxxxxxxxx, xxxxxxx xx xxxxx, xxxxxx xx xxxxé, xéxxxxxxx xxx xxxxxx, éxxxxx xxx xxxxxxxxx, xxxxxx xxx xxx xxxxxé, êxxx xxx xxxxxx xxxéxxxxx, xéxxxxx xx xxxxxx, xxxxxx, xxxxx xx xxxxx, xxxx xx xxxxxxx, êxxx xx xxxèxx, xx xxx xxxxx xx xxxxx, xâxxx, xxxxxxxx, xxxx xxxx, xxxxxx xx xxxxx, xxïx xx xxxxxxx, êxxx xx xxxxxèxx, xxxxxxx xx xxxxxxxxxxxé, xxxxxx xx xxxxxxx, xxxxx xxx xéxxxxx xx xxx xxxxxxéx… xxëxxx … xxxxxxx, xxxxx, xxxxx, xxxxxxxx, xxxxxx, xxxxxxx, Êxxx xxx-xêxx. xxxxxxx … xxxxx xx xxx xxxx xx xxxxxxx, xxxxxx xxèxx xx xèxx, xxxxxxxxx xxxxxx xxx éxxxxxxx xx xx xxx. xxxxx ... xxxxxxx xxxxx xxx xxxx xx êxxx xxxxxxxx. xxxxx … xxxxxx, xxxxxx, xxxxxx xxxx xxxxxxx éxxxxxx xx xxxxx xxx x’xxxxxxx. xx xxxxx xx xxxxxx, xxxxx xx xxxxx xxxxxx. xxx xxxx xxx xxxxx xx xxxxxxx x’xxxéxèxx xx xxx xœxxx xx xxxxxxxxxx. xx xxxxxxx xx xxx xœxxx xxx xxxxxxx xx xx xxxx xxx xxxêxxxx xx xx xxxxxx. xxxxx xxxxx xx xxxx xxx xxxxx xx xxxx xxxx, xx xx xxxxx xxxxxx à xxxx xxxxx xxxx xxxxxx xxxxxxx. xx xxxxx x’xxxxx xx xxxxx, xxxxx xxxx xx xxxx xx xxèxx x’xxxxx, xx xxxxx xxx xxxxxxxx, xx xôxxx ; x’xxxxx xx xx xxxxxxxx xx xxxxx xxxxxx... xxxxx xxxxxxx xx x’xxxxxxx , xxxxxxx xx x’xxxxxxxx, xxxx xxxxxx xéx xxxx xxxx xxxxéxxx xxx xxxxêxxx xx xx xxx : xx xxxxèxxxxxx, xx xxxxxxx, (...) /> le racisme,
l’homophobie,
le vol, le viol,
le sexisme,
le malheur, le mal-être…
mais gardons espoir, après la pluie, le beau temps, lâchons nos parapluies.
Dites-nous, dans ce ciel gris, où est le soleil, où est donc l’arc-en-ciel ?

SCRIPT | Collège Gilbert Dru 3

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Déambulation urbaine
xx xxxx xx xxxxx xxxxx, xxxxx xxxxxx xxxxxxx, xx xx xxxxèxxxxxx xxxx xxx xxxxxxx xx xxxx, xxxx xx xxxxxxxxx xx xxx xxxxxxxxx. xxxxxé xxxxxx xx xxxxxxxxxxx, xx xxx xxxxxé xxxxxx xxx xxxxxxxxx, xxèx xxxxxxxx, xx xx xxxx xxxxxxéx xxx xxx xxxxxxx xxxxxxxx. xxxx, xxxxxxxx, xxxxxxxé xx xx xxxxxxx xxxxxxxxxx xxx xxxxxxxx xxxxxxxx xx xxxxxxx, xx xxxxxxxxxx xxxxxxé xxx xxxxxxx xx xxxx ... xxxx, xéxxxx, xéxxxxxxé. xx xxxxx xxxxx : xxxxxxx xxx xxxxxx xxxxçxxxx-xxx xx xxxxxxxx xx xxx xx xxxx, xxxxxxxxxx-xxxx xxx xxxx xx xxxxxx xxxx à x’éxxxx. xx xxxx xx xxxxx xxxxx, xxxxxxxxx xxxx xx xxxxx xx xxxx. xxxxx, xxxxxx, xxx xxx xxxxx xxxxxx. xxxx xx xxxxx, xxxxxxxxéx xxxxx xxx xxxxxxxxxx. xxxéxéx, xéxxxîxéx, xxxx xxxxxx xxxxxx ! xxxxxé, xxxxxxxxxx, xx xxxxxx xxxxx xxxxxx, xx xxxxx xxxxxxx xxxé xxxx xx xxxxxx xx xxxxxxx. xxx xxxxxxxx, xxxxx, xxxxxx, xxxxx, xxxx xxxxxxxxxx xxxxx xxxxx xxxxxxx, xxx xxxxx xxxxxxxx xx xxxxxx, xxx xxxxxxxxx xx xxxxxxxx. xx xxxxx xx xx xxxxxxx xxxx xx xxxx xxxx. xx xxxx xx xxxxx xxxxx, xxx xxxxxxx x’xxxxxxxx. xx xxêxx x’xx xxxxx xxxx xx xxxx. xxxx xxxx xâxx, x’xxxxxxxxx à xxxx xxxxxxx. xx xxxxx. xx xxx xxx xxxxxxé. xxxxxxxx xxxx xxxxx xxxxxx xxxxxx. xxxxxxèxx. xx xxxxxxxxxx xxxxx xx xxxxx. xx xxxxx xxxxxx xxxxxx xx xxx. xxxxxxxxx xxxxxxx xxxxxx xx xxxxx xxx xxxxxx x’xxxxxxxx xx xxxxx. xx xx xxxxxxxx, xx xxxxxxxx xxxxx xxxxxx, xxx xxxxxx « xx x’xxxx ». À xxxx xxxxx xxxxxxxx xxxxx-x-xxxx ? xx xxxxx xxx-xxxxxxé ? xxxxxx. xxx xxxxxx xxxx xxxx xx xxxxxxx, xx xxxx xxxxxxxxx x’xxxxxxxxx xx xxxxxxxxx, xxx xxxxxéx xx xxxxxxx xxxxx xxx xx xxx. xx xxxx xx xxxxx xxxxx, xxxxx xx xxxxxxx xxxxxxxx xxxx xxxxxxx, x’xx xxxx xxxx xxxxx xxxxxxxxx xxx xxéxx xxxxxxx xx xxxxxxx. xxx xxxxxx xxxxxxxxxx xéxxxxxxxxxxx, xxx xxxx xéxxxxxx xx xxxxxx xx xxxxxx xxxxx xx xxxxx x’xxxxxxxx. xxxxx xxxxxxx, x’xxxxçxxx xx xxxxxx xxx x’xxx xxxxxxxx. xx x’xxxxxxxx, xxxxx xxxxxxxxxxxx xx xxx xxxxxx. xx x’xx xxxx xxxé xx’xx x xû xx xéxxxxxxx à xxx xxxxx. xx x’x xxxxx, xxx xxxxx, xx xx xxxxxxxxx, xxx xxx. xéxéxxxxx xx xxxx, xxx xxxxxxxx, xxxxxxx xxx xxxxx xxxx xx xéxéxxxxé xxxxxxxx. xxxxxxx xx xèxxxx, xxx xxxxxx x’xxèxxxx xxxxxxx xx xxxéx. xx xxxx xx xxxxx xxxxx, xxx xx xxxx xxxxx, xxxxxxxxx xx xxxxx xxx xxxxxxx xx xxxxxx, xx xxxxxxxxxxx. xx xxxx xxx xx xxxx, xx xxxxx xxxxxx xxxxx xxxxxxxxx, xxxxxxxxx, xxx êxxxx xx xxxxxx. xxx xxxxxxxx xxxxxxxx x’xxxxxxx, xxxx xx xxxxxxx, xxx xxxxxxx à xx xxxxxxxx, xx xxxxxxxxx x’xxxxxxx. xxxxxxxx xxx xxxxxx xxxxxxxx xxxxxéx xxxx xx xxxx xx xx xxxxx xxxxxx, xxxx xxxxxxxxxx ! xxxx xx xxxxxxxx xxx xx xxxx xxxxx. xxx xxxxx, x’xxxxxx xxxxxxxé xxx âxx xœxx, xxx xx xxéxxxxxx xx xxxx xxx xœxx, à xxx xx xxxxxxxx xéxéxxx xxx xxxxxxx xxx xxxx xxxxxxx, à xxx xx xxxxxxxx xxxxxxxx xxx xêxxx xx xxx xxxxxxx xxxx xx xxxxx. xx xxxx xx xxxxx xxxxx, xx xxxxxx xxx xxxxxxxx xxx xxxxxxx, xxx x’xxxxxx xx xx xxxxxxxxxx xxxxxx xxxx xxxx. xx xxxxxxxx xx xxxxxxxx xx xxxx, xx xxxxxxxxx xxxx xx’xx xxx xxxxxé. xx xxxxxx xx xx xxxxxxx xxxx xx xxxxxxxxxx, xx xxxx. xx xéxxxxx à xxx xxxxxxx xxxxxxxxx, xxxèx xxx xxxxxx-xxxxxxxxx xxxxxxxéx. xx xx xxxx xxxx, xx x xéxxxx à xx xxxxx xxxxxxx xxx xxxxxxxxx xx xxxxxxxxx xxxxxx xx xxxéx. x xx xxx xx xxxxx xxxxx, à xx xxxxxx xx xéxxx, x’xxx xxxxx xxxxxxxx xxxx xxxxxxx. xxxx xxxx, xxxx xéxxxxxxxx xxx xxxxxxxxx xxxxxxx xx xxx x’xx xxxxxxxx, xxx xxxxxxxx xxxxx, xxxxxxxxx, xxx xxxxxxx xxx xxxxxxxx xxxxxxxx. xxèx xxxx, xxx xxxxxx x’xxxxxxx xxxx xxxxxxxxxx à xx xéxxxxxxxx xx xxxxxxxx xxxxxxx xx xx xxxxx xxx xxxxèxxx. xéxxxé à xxx xxxxxx, xxx xxxx xèxxxx xxxxx’à xxx xxxxxxxxx xxxxxxxxxx à xx xxx-xx-xxxx, xxxx xxxxxx xx xxxxxx xxxxxx, xxxx xxxxxxxxxx xx xxxxx xx xxxxx xxxxxxxxxxxx xxxxxxxx. xxx xxxxxxxxxxxx xxx xxxxxxx xxxxxxxx xx xéxxxxxx xx xxx xxxxxxxx, xxxx xxxéxéxxxx xx xxx. xxxx xxx xxxxxxxxxxx xxxxxxxx xxxx xéxxxxxx xx xxxxx xxêxx, xxxx xxxxxxxxxx xxxxx xxxx xxxxxxxx xx xxxçxxx xx (...) mer et tous nos souvenirs allant avec.
Pas le temps pour les distractions,
les choix s’éloignent à nouveau,
à peine repartis,
d’autres couleurs nous extirpent à nouveau,
trop tard pour les chants d’oiseaux,
on aurait dû y penser plus tôt !

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4/ Le spectre de la ville
Pauline JUNIER-GAUTEYROUX
xx xxxxx, xx xxûxx xéxxxxx xx xxxxxxx xxx xxxxxx xxxx xxxx xxxxxx, xxxx xxxx xxxx, xxxx xxxx xxxxxx xxx x’xxxxxxx xxxx xxxx, xxxx, xxxx, xx x’xxx xxxxxx xxxx x’xxxxxxx xxx xxxèxxx xxxxxx xx xxxxèxx. xxx xxxxxxxx xxxxx, xxx xxxx xxxxxxxx, xx xxxxx xxxxx xxxx xxxx, xx xxxxxxxxx xxx xéxxx xxxxxxx xx xxx xxxxxxx xx xxxxxxxx xxxx xx xxx xx xxxxxxxx x’xxx xxxxxx xx xx xxxxxxxxxx xxxxx xxxxx xx xxxxx xxxxx xxxxx xxxxx xxx xxxxx xx xxxxx. xxx xxxxxxxx xxxxx, xxx xxxx xxxxxxxx, xx xxxxx xxxxx xxx xxxx xxxxx xxxxxxxxx xxx xxxxx xxxxxxx xx xxx xxxxxx xx xœxx xxxxxxxx xxxxx xx xêxx xxxxxxxx xxx xxxxxxx xx xx xxxxxxxx xxxx xxx xxxx xx xx xxxx xx xx xxx xxxx xxxx xxx xx xxxx xxxx. xxx xxxxxxxx xxxxx, xxx xxxx xxxxxxxx, xx xxxxx xxxxx xxxxxx xxx xxxxxxx xxèxxx xxxx xxxxxxxx xxxx xx xxxxxxxxxèxx xxx xxxxxxèxxx xx xx xxxxxxxx xxxx xxx xxxx xéxxxxxx xx xxxx xxxx x’xxx xx xxxxx xxx xxx xxxxx à x’xxxxxx xx xxxxxx xxx xx xxxxx xxxx xx xxxxx xxxxxxx. xxx xxxxxxxx xxxxx, xxx xxxx xxxxxxxx, xx xxxxx xxxxx xxxxxxé, xxx xxxx xxxxxéx xx xxxx xx xx xxôxx, xxxxxxx xxxxx xxxxxxxxx xx xxxxxx xxxxxxxx xxx xxxxxxx éxxxxxx, xâxx xxxxx xx xxxxôxx xxx xxxxxxxxxxx x’xxxxxxx xxxxxéxx xxxxx xxx xxxxxx. xxx xxxxxxxx xxxxx, xxx xxxx xxxxxxxx, xx xxxxx xxxxx x’xxxxx, xx’xxxxxxx xxxxxx xx xxxxxxx, xx xxxx xxxxx xxx xxxx xxxxxxxxx xx xxxx xxxx xx’xx xxxx xxxxxx xxxxx xx xxxxxxxxx xxxxx x’xxx xxx xxxxxx xxxxx xx xxxxxxx x’xxxxx (...) les rues changent, le temps passe

Au loin la ville, les fantômes et les arbres rouges
Lorsque j’arrive au feu qui m’effarouche
Le fleuve indifférent avance, sans hâte, les voitures bougent
Et le crépuscule brûle quand le soleil se couche.

Les couleurs vives, les rues changent, le temps passe

SCRIPT | Pauline JUNIER-GAUTEYROUX
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Phase d’édition et d’illustration - Ne pas écrire dans cette case
Collège Pierre Brossolette 1

Ne pas écrire dans cette case

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