se connecter
Identifiants personnels

mot de passe oublié ?

Utiliser l'authentification centralisée [Utiliser l'authentification centralisée]
script forum écrire
Prologue

La décision de quitter la ville pour s’installer à la campagne murissait depuis plusieurs années dans l’esprit de Monsieur et Madame Morin-Diallo. Les problèmes d’asthme de Sarah, la petite dernière, et les plaintes incessantes des voisins lorsque les jumeaux Lucas et Salomon jouaient dans la cour de leur résidence du centre-ville de Lyon avaient fini par les convaincre de faire le grand saut. Alors, un matin d’août, les cinq Lyonnais accompagnés de leur chien et de leur chat s’étaient installés dans un coin reculé d’Ardèche au bord de la rivière la Bourges, dans une jolie maison de pierre abandonnée depuis seulement six mois. La santé déclinante du couple de retraités qui y avait vécu les avait poussés à rejoindre la vallée non loin d’un centre hospitalier et des services qu’il proposait aux personnes âgées. Les parents Morin-Diallo, Laurence et Driss, tout sourires, se réjouissaient. Enfin ils réalisaient leur rêve, offraient à leurs enfants de sept et douze ans un cadre de vie proche de la vie sauvage, où l’air était peu pollué et qui permettrait à leur progéniture d’évoluer au grand air, dans un milieu sain au plus près de la nature. Dès les premiers jours, la respiration de Sarah se fit plus fluide, aucun accès de toux à déplorer, son teint s’était éclairci, elle était radieuse, son père et sa mère s’en félicitait. Quant aux garçons, ils n’en revenaient pas de disposer d’un terrain de jeu qui leur semblait illimité. Ils couraient dans les bois, dévalaient les pentes à s’en couper le souffle, sautaient dans les cascades, s’aspergeaient d’eau dans la rivière, hurlant et riant sans déranger personne, un vrai bonheur.
Or, ce dont aucun d’entre eux ne se doutait, c’était que le vide de la maison qu’ils venaient d’investir n’était qu’apparent. En effet, cachés dans les nombreux recoins des deux étages que les Morin-Diallo occupaient, ainsi que dans le grenier, dans la cave, au beau milieu de ce qui avait été un potager, sur la rivière et partout sur ses rives, fourmillait un grand nombre d’espèces de la faune et de la flore locale. Des bactéries invisibles à l’œil nu, des insectes plus ou moins faciles à vivre, des reptiles surtout de petites tailles, des mammifères petits et grands, jusqu’aux oiseaux qui volaient librement au-dessus de la nouvelle demeure de Laurence et de Driss. Sans le savoir, les cinq bipèdes citadins et leurs deux animaux de compagnie bouleversaient tout un écosystème qui avait appris à exister sans devoir composer avec des humains.
Laurence entreprit d’abord de s’occuper du jardin qu’elle voulait rendre joli. Elle s’arma d’une énorme paire de ciseaux en métal et d’autres ustensiles et commença par se charger des mauvaises herbes : elle défrichait, éliminait toutes les plantes qui lui semblaient laides ou inutiles, une hécatombe. Dans la remise, Driss fut ravi de trouver une tondeuse à gazon dont le réservoir contenait encore suffisamment de carburant. Afin de rendre les alentours de leur propriété plus ordonnée, il sortit l’engin, et l’alluma. Un bruit de moteur vint perturber le calme à une centaine de mètres à la ronde, semant l’effroi dans la nature, d’autant que la fumée noire qui s’en échappait était irrespirable. Alors qu’ils jouaient dans le lit de la rivière, les deux garçons n’hésitaient pas à s’emparer de cailloux qu’ils jetaient à la surface pour s’éclabousser, sans se rendre compte qu’ils retiraient leurs abris à des crustacés livrés subitement sans secours aux attaques de leurs prédateurs. Leur chien, encore jeune et turbulent, ne sachant plus où donner du museau, pourchassait les papillons affolés, creusait la terre en arrachant les racines nécessaires à la survie des plantes, ses jeux détruisaient aussi l’habitat d’insectes incapables de vivre au grand jour. Le chat aussi jubilait, il avait à sa disposition un vaste terrain de chasse où les rongeurs dont il raffolait, découvraient bien trop tard son habileté et sa redoutable efficacité. Le petit félin ne mit pas vingt-quatre heures à s’adapter à son nouvel environnement, il en devint le principal prédateur.
En se rencontrant, deux univers qui n’aspiraient pourtant qu’à vivre en paix entraient en collision. Mais, ignorés par les humains, c’était au monde des plantes et des animaux de réagir, d’observer attentivement le comportement des nouveaux venus afin de s’y adapter, puis de trouver rapidement les moyens de cohabiter avec ceux qu’ils considéraient comme des intrus qui leur compliquaient l’existence.



Il pleut des mots
Marc Alexandre OHO BAMBE
xxxxx xxxx xx xxxxxxxx, x’xxxxx xx xxxx. xxxx xxxxxxx xx xxxx, xxxxèxx xx xxxxxxxxx xxxxxxx. xx xxxx xx xxxx xxx xxxxx, xxxxxxxx xxx xxxxxxx, xxxxxxx xx xxèxx. xx xxxxx xx xxxxxxxx x’xxxxxxxxx, x’xxx x’xxxxxxx xxxxx xx xéxxxxxxxx xxx xxxxxxxx xxxxxx à xxxxx. À xxxx xxxxxx x’éxxxx, xxxxxxx. xx. xxxx xxx xxxxéxx xxxx xxx xxxxxx xx xxxxxxx, xx xxxxx. xxx xxxx xxx xxxxxxx, xxx xxxx. xxx (...) class='autobr' /> Il pleut des mots, d’azur et d’espérance.
Des mots qui dansent, des mots, qui chantent, des mots, qui slament, des mots qui maudissent la fatalité, des mots, qui disent "va, vis, vibre, libre deviens", des mots, chevaux de feu qui courent le coeur, des mots, qui tracent chemin sur la mer.
Il pleut, des mots.

SCRIPT | Marc Alexandre OHO BAMBE
FORUM
0

Il pleut d’amour
xx xxxxx xxxx xx xxxxxxxxx xxx xxxx xxx xxxx xx xxxx xxx xxx xxxxxxx xxx xxxxxxx xx xx xxxxxxxxxxxé xxx xxxxxxxxxxxé xxxxxxxxx, xxxxxxxéx, xxxxéx xx xx xxxxx xxxx xxx xxxxxx xx xx xx xxxxx xxxx xxxxxèxx xx xxxxx xxxxxxx-xx xxxxxxx xxx xxxxxx ? xx xxxxxx xxx x’xxxêxxx x’xxxxxxx xx xx xx xxxxx xxx, xêxx xxxxx xxxx xxxxxx xx xxxxxxx xxxx xxxxxxx xx xxxxx xxx xx xx xxxxxxxx xx xxx xxxxxxxxx xxxxxxxx xxx-xxx ? x-x’xx xx xxxxx ? xxx xxxxxxx xxxx xxx xxxxxxx xxx x’xxxxxxx xéxxxxéxé, xx xxxxx à xx xxxxxxxxx xx xxxxxxx, xxx xx xxxxxx xxxxxèxx xxx xxxxxxxx xx xxxx xxxxxxé xx xxxxx xx xôxx xxxxxx xxxèx x’xxxxx xxxx xxxxxx xx xxxxxôxx xx xxxx xxxxx xx xxxxxx xx xxx xêxxx x’xxxxxx xx xxxxxxx xxxxx xx xxxxx xx xxx xxxxxxx...xxxxxx xêxxx x’xxxxxxx… xxx xxxx xxxxxxxx xxx xxxxxxx xxxxxxxxxxx, xxxx xxxxxxxxx xxx, xxxxxxxxxxx xxxx xx xxxx x’xxxx xxxxxx xx xxxxxx, xxxxxx xxxxxxxx xxxxxx xx xxxxxxx x’xxxxxxxx xxxxxxx xxx xxxxx xxxxxxxx xx xxxx xxxxx. xx xxxxx xxx xxxxxxx xx xx xxxxx xxxxxx xxx xx xxx x’xxx xxx xxxxx xxxx, xx xxxxx, xx x’xxxèxx, xx xéxxxxxx xxx xêxxx xxxxxxxx-xxx xxx xxxxxèxx xxxx xx xx xxxxx xx xxxxx xxx xxxx « xx x’xxxx ». xxxxxxxxx xx xxxxxx xx xxxxxxx xxxxxx xxxx xxx xxxxx, xxx xœxx x’xxx xxxxxxxxxé xx xxxx x’xxxxxx xxx xxxxxx xxxx xx xxxxxx xx xx xx xxxxx xxx xxxxx xxx xxxxx xxxx xx xxxx xx xxxxx x’éxxxxx xxxx xx xxxxx, xx xxxxxxxxxxxx xx xxxxx xxxxxx xx xxx (...) un sens

Croquer la vie à pleine dents, ne pas la prendre à contre-sens
Laisser ses problèmes en suspens, juste quelques instants
Ne pas se cacher derrière son amour : faire la cour au bonheur
Pour pouvoir poursuivre sa vie en temps et en heure

Je suis le phœnix qui renaît de ses cendres !

SCRIPT |
FORUM
0

3/ Renais sens !
Collège Théodore Monod 3
xx xxxx xxxxxx, xxxx xxxxxx xxx xxxxxx xxxxxxx xx xxxxx à xx xxx xxèx xxxxxxxx xx xx xxxxxxx xxxx xx xxxxxx xx xxxx xxxxxxé xx xxxxx à x’xxxxxx, xxxx x’xxx xxxxx xx xxxxx à xxx xxxxxxx, xx xx xxxxxxx xxxxxxxx xx xxxxxxxx. xx xxxx xxxx xxxxxxé xx xxxx xxxx xx xxxxxx xx xxxx xxxxx xx xxxxxxx xxx xxxx xxx xx xxxxxx xxxx xxxx xx xxxx xxxx xx xxxxx xxxxxxé xxx xxèxxx x’xxx xxxxé xx xx xxx xxxxxxx xx’xxx xxxx xxx xxxxxxxxx xxxx xxxx xxx xxx xxxx xxxx xxx xx xxxxxx xx xx xxxxxxxxxxxx xx xxxx xxxx xxxx xx xxxx xx xxxx xx xxxxxx xxxxéxxxxx xxx xxxxx xx xxxxxx xx xxxxxx xx xxxxxxxxxxx xx xxxxxxx xx xxxxxx xx xxxxxxxxxxx xx xx xxxxxxxxxxxé xxx xxxxxxxxx xxxéxxxxxxx xx’xxx-xx xxx xx xxxxx xxxx xxx xxxxxxx ? xxx xxxx-xx xéxxxxxxxx ? xxx xxxx xxx xxxx ? xxxxxx xx xxxxxx, à xxxxxx xxxxxx xxx, à xx xxxxx xxx xxxxxxxxx xxx xxxx xxxxéxxxé. xx xxxxx xxxéxxxxx xx xxxxxxx xxxxx xxxx-xx xx xéxxxxxxx ? xx xêxx xxxxxxxxx … xxxxxxx x’xxxêxxx ? xx xxxx xx xxxxx xxx xxxxxxx xxx xxxxxxxx xx xxxx xx xxxxxx xxx xxxxèxx xx xxx x’xxx xxxxxxxx xx xxxx xx xxxxxx xxxxxxé xx xxxx xxx xxx, xx xéxxx xx xx xxxxx xxxé xx xxxx x’xxxxx xxx xx xxxxxxx xxxx xxx xx xxxx à x’xxxxxx xxx x xxxxx xx xxx-xêxx, xxxxxxé xx xxxx xxxxx xxxx xx xxxxx, xxxxx, xxx xxxxxxx xxxxxéx. xx xxxxx xxx xxxx xxx xx xêxx, xxx xx xx xxxx xxx xxxx xx xéxxxxé. xx xxxx xxxx-êxxx xx xxx xxxx x’xxxxxxx xxxxx xx xxxx xx xxxx xxx xxxxxxxx xxx x’x xxx xx xxxxxx xx xxxx xxxx xx xxxxxx xxxx xéxxxxxxxx xxxx xxx xxxxxx xx xxxx xx xxxxx xxxx xxx xxxxxx xx xxxx xx xxxx xxxx xx xxxxxèxx xx xxxx xx xxxxx xxxxxx xxx xxxxxx xx xxxxx xx xxxxxxx, xx xx xx xxxx xxx xx xx xxxxxxxx xxxx, xxxxx xx xxxxxxx xx xxxx xx xxxx xxxxxx xx x’xxxx xxx xxx xxxxxxxx xxxxéxéxx xxx xxx xxx xx xxx xxxxxx xx xxxxxx xx xxxxxx xxx xxx xxxxxx xxxx xxxxôx xxx xxxxxxxx xx xx xxxx xxx xxèx xxxx xx xxxx xx xxxxxx xxx xxxx xxxxxx xxxx xxx xxxxxx xxx xxxxxxxxxx xxx xx xxxxxxxxxxxx xxxx xxxxîxxx xx xxxx x’xxxxx à xx xxxxxxxxx xx xxx xxxx xxxxxx xx xxxx xx xxxxxx xxx x’xxx xxx xxxxxxx x’xxxxxxxx xéxxxxé xx xxxxx xxxxxxxx xx xxxx xx xxxxxxxxx xx xxx xxîxxx xxxxxé xxxxx xx xxxxxx xxxxx xx xxxxxx xx xxxx xx xxxxxx xxx xxxx xxxx xx xxxxx xx xxxxx xx xxxx xxx xxxxxxxx xx xxx xxx xxx xxx xxxxx xx xxxx x’xxxxx xxx xx xx xxxx xxxx, xxx xx xxxxxx xx xxx à xxx-xêxx xx xxxx xxxxx xxxxx xxx xxxxéx, xxxxxxé xx xxxx xx xxxx xxxx xx xxxxxx xx xxxx xxxxx xxxx xxx xxîxx xxxx xxxxxx xxxxxx xx xxxxèxx xx x’xx xxxxxxxx, x’éxxxx xà-xxx xxxxx xx xxxxôxx x’xx xxxxx xx xxx-xêxx xxxx xx xxx, x’xx xxxx xxx xxxxxx xx xèxx, xxx x xxxxxxxx éxé à xxx xôxéx, xxx x’x xxxxé xxxxxxx xxxx xxxx xx xèxx … xx xxxx xù xxxx xxxxx xx xxxx xxxxxx xx xxx … xx xxxxx xxxxxxx xx xxx xx xxxxx xxxxxxx xx xxxx xxxx xx xxx, xx x’x xxxxxxxx xxx xx xxxxxxxx xxxxxx xx xxxx xx xxxxxxxxx xx xxxx x’xxxxx xx xxx-xêxx xx xéxxxxx xx xxx x’xx xèxx xx xxxxxxx xxx xx xxxx xêxx xxx xxx xxxxx x’xxxxxx xxx xx xxxxxx xxxxxèxx xx xxxx xx xx xxxxx xx xx xxxxx xxxxxx x’xxx xxxxxxxx xx xx xx xâxxx xx xxxx xx xx xxxxx, xx xxx xâxxx ! xx x’x xxxxxxxx xxx xx xxxxxxxx xxxxxx xxx xxxx xx xxxxxxxx xxxxxxx xx xxxxèxx xx xxxxé xxxxx xxxx xx xx’xx x x xx xxx xx xxxxé xx x’x xxxxxx xxxxx xxxx xx xx’xx x’xxx xxxxé xx xxxx-xà xx xxxxxxx xxxx xxxxxxxx xxxxx çx ? xx xx xxxxxxx xxx xxxx xx xxxx xxxxxxx xxxx à xx xxxxèxx xx xxxx. xxxx xxx xxxxx x’xxx xxxx xxxx xx xx xxxx xxxx xx xxxxxxxx xxxx xx xxxxxx xx xéxxxé, xx xxxx xxxxxx xêxx xx xx xxx, çx xxxx xx xxûxxx xx xxxxxx xx xxxxxxxx xxx xxxxx xxxxxxxxxxx xx xxxx xxxxxxx xxxxx éxxxx xx xxxxx xx xxx xxxx xx xxx xxxxx xx xxxxx xx xxxxxxxx xx xxxx xxx xx xxxx xxxx xxxx xxxxxxxxxxxx xxx xxxxxx xx xxxx x’xxxxx xxx xxxxxxx xxx xxxxxx xx xxxx xà, xx xxx, xxxx à xxx-xêxx x’xxx éxxxxxx xx xx xxxx xx xxx xxxxx xxx xx xxxx xxxx xx xxxxxx xxx-xx xxx x’xxx xxx xxxxxx ? xx xxxxxx xxx xx xx xxxx xxxx xxxx xx xêxx xxxxx x’xxx xxxxx xx xx xxxxxx éxxxx xx xxxxxxx xxxx xx xxxxx xxxxx xxxx xx x’xxx xxxxxxxx xx xxxxxxx, xx xxxx xxxx xxxxxxxx x’xxxx xx xxxxxx ! xx xxxx xx xxxxx xxx xxxxxx xx xéxèx xx xxx xxèxx x xxxxxxxxx xxx xxxxxxxx xxxx xxxx xx xxxx êxxx xxxxx xxxxxx xx xxxxx xxx x’xxxxxx xxxx à xx xxxxxxxx xxxx xx xxxxxx, xxx xxxxx êxxx xxxxxx xx xxxxx xxxx xx xxxx xxxxxx xx xxxxôxx xxxxxxxxx, xxx xx xxxxxxx, xxx-xx xxx x’xxxxxx xx x’xxxêxxxx ? xxxèx xxxxx xxxxx xxxxxxx xxxx xxx xxèxx : xx xxxxxxx xxxxx x’xxxxxx xxxxxx xx xx xèxx xéxéxéx xxx xx xx xxxxxxx xxxxé. xx xxxxxx, xx x’xx xxxxé xxxèx xx xxxx xx xxx xxxxxxx xxxèx xx xx xéxxxxxxxxx xxxx à xxxx xxx xxxxxx. xx xxxxxxx xxxxx à xxxxx xxx xxxxx xxxxxx xxx xxxxx xxxxxx xxxxéx xxx xxx xxxxxxx xx xxxx x’xxxxxxxé x’éxxxxxx xxxxxxx-xx xx xxxxx ? xx x’x xxxxxx xxx x’xxx xxxx xx xxx xx xxxxx xx xx xèxx. xx xxxx, xx xx xxxx xx xxxxxx xx xx xxxxxxxxxxx à xxxxxxxx xx xéxéxxxxxx xxxxx xxxx xx xxxxx Çx x éxé xxxx, xx’xxx-xx xxx çx x xxxé ! xxxx xx xxxxx xxxxx xxxx xxx. xx xxxx xxx éxxxxxx xx xxxx xxxxxxéx xx’xx xxxxx xx xxxx xx xxxxxx xxxxx xxx xxxxx xxx xxxxxxx xx xxxx xxx xxxxxxxxxx xxxxxxxxx, xxxxxxxxx xx xxx x xxxxx xx xxxxxx xx xxxx xx xxxxxx xxxxxé xxxxxxx xxxx xxxx xx xxxxxx xxx xx xxxxxxxx xx xxxxxxx xxxx xù xx x éxé xxxxxé xx xxxx xxxxxé. xx xxxx xx xxxxx xxxx xxx éxxxx xxx xxxxxxxx, xx xxxxx xx xx xxxxxxx x’xx xxxxxx xx xxxx xx xxxxxx xéxxxxxé à xx xxxxxxxxx x’xxx xxxxx xx xxxxxx xxxxé xxx x xxx xxxxxx xxxx à xxx éxxxxx xxxx xx xxxx xx xxxxx xxxx xx xxxx xxx xxxxx xx xxxxxx xx xxxx xx xxxxx xxxxxx xxxéxé xx xx xxxx xxx xxxxxxx xx xxxxx xx xxxx xx xxxxxxxxxx xxxxxxx xxx xxxxxx x’xxxxxxx xxx xxxxxxx xx xxxx xx xxxxx xx xxxxxx x’xxx xxxxxx xx xxxx xx xxxx xxx xx xxxxx, xx xxxxx x’xx xxxxxx xxxxéx à xxx xxxxx xx xxxx xx xxxxxx xxxxx xx xxxx xxx x’xxxxxx xxxx xxx xxxx xx xxxx xxx xxxxéx xxx xx xxxx xx xxx xx xxxx xx xxxxxx xxxxxxxxxé xx xxx xxxxxxx xxxxxxx xxx xxxxxxx xx xxxxxxxx xx xéxxxxé xx xxxx xx xxxxx xxxxx xxx xxxx xxxx x’xxxxxx xx xxxx x’xxxx xxxxxx xx xxxxxx xxx xxxxxx xx xxxxx xx xxxx xx xxxxxx xxxxéxxxx xxx x’xxxxxxx xx xxxx xxxxxxx xx xxxx xx xxxxxxx xxxxxxxxxx xxx xxxxx xxx xx xxxxx xxxx xxx xxxxxxxxxxxxx xxxx xêxx xxxxxx xxxx xxxxxx xx xxxxxx xx xxxx xx xxxxx xxxxx xxèx xxxx xx xéxxxxxxx xx xxxx xxx xxxéx xxxxx xxx x’xxxxxx xxx xx xxxx. xx xxxx xx xxxx xxxxxx xxxéx xx xxxxx xxx xxxxxx xxx xxxx xxx xxxxxxxx xxxx xx xxxxx xxxxx xxxx x’xxxxxx, xxxxxxxx xx xx xx xxxxx, à xxx ! xx xxxx x’xxxxxxxx à xxxxxxxx xx xxxx x’xxxxxxxxxx à xxxx xx xxxx xxx xxxxx xx xxxxxxxx xx xxxxx xxxx xx xxîxx xx xxxx xx xxxx xxxxxxxxxxx xxx xxxxxxxxx xxx xxxxx xx xxxxxx xx xxxx xxx xxxx xxxxxxxxxx xxx xxxxxxx xxx xxxxx xx xxxx xx xxxxx xxxx xxx xxx xx xxxxxx xx xx xxxx xx xxxx xxxxx xxxx, xxxxxxxxxxx xxxx xx xêxx xxx xx xxxxx xx xxxx xx xxxxxxx xxxxxxxx xx xxxx xx xxxxxxx xxx xx xèxxxx xxx xx xxxxxx xx xxxx xx xxxxxx xx xx xéxxxé xx xxxx xxx xxxx xxx xx xxxxxxxx xx xxxxxx xxxxxx xxx x’xx xxxxéxx xx xxxx xxx xxxx xxx xx xxxxxxxx xx xx xxxx xù xxxx xxx xxxxéx xxxx xx xxxxxxx xx xx xxxxxxx xx xxxxxxxxxx xxxxx xxxxx xxx xxxxxx xx xxxx xxxxxéx xxxx xx xxxxx. xx xxxxxxx, x’éxxxx … xx xxxxxxx … xx xxxx xx xxéxxx xxx xxxxxx xx xxx xxxxxxx xxxx xxxxx xx xxxxx xx xx xxxxx xxxxxxxx xx xxxx xxxxx xx xxx xxxéx, xx xxx xxx xxx xxxxxx xx xxxxxxxx xxxxxxxxx xxxx xxxxxxxxxxxxxxx xx x’xx xx’xxx xxxxx xxx xx xxxx xxx xxxxxxxx xxxxxxx xxxxxx x’xx xxxxxxx xxx xxxxx xx xx xxxxx xx xxxxx xxxxxxxx xx xxxx xxxxx xxxxx xxx xxxxxx xxx xxxxx x xxxxxxx xxx xxxxxxxx, xxx xxxxx xx xxx xxxxxx xx xxxx xx xxxxx xxxxx xx x’xxxxxx xxx xxxxxx xxxxxx xx xxxxxx xx xxxx xx xxxx xxxxxx xxx xxxxx xxxxxx xx xxxxx xxxxxx xx xxxx xxx xxxxx xxx xxxxxxx xxxxxx xxx xxxxxxxxéx xx xxxx xxx xxxxx xx xxxx xxx xxxxxxxxx xxxxxx xxxxxxxxx xx xxx xxxxxxxxx xxxxxx xxx x’xx xxxxxxx xxxx xxx xxxxx xxxxx xx xxxxxxx xxx xxx xx xxx xxxx xxx xx xxxx xxxxx xxxxx xxx à xxxxx xxx xxxxxxxx xxxxxx xx xx xxx xxx xéxxxxx x’xxxxxxxx xxxxx à xxxxx xx xxxx xx xxxxxxx xxx éxxxx xx xxxx xxx xxxxèxxx xxx xxx xxxxxxx xxxxxxxéx xx xxxx xxx xxxxx xxxxx xxx xxxx xxxx xx xxxx xù xxxx xxx xxxxxxxxxx xx xxxx xxx xxxxxxx xxx xxxxxxxxxxx xxxx-êxxx xx’xx xx x’xx xxxx xxx xxxxxx xxxx xx xx x xx xxxxxxxxx xx xxxx xxx xxxxx xxx xéxxxxxx xx xxxxx xx xxxx xx xxxxxxx-xé xx xxxx x’xxx (...) est artificiel
Le vent qui souffle est superficiel
Peut-être qu’il ne s’en rend pas compte mais il en a du potentiel

Je suis une plume qui découvre le monde
Je suis le nouveau-né du ciel
C’est les mots qui me font vivre
Plus je marche, plus je me reconstruis.

SCRIPT | Collège Théodore Monod 3
FORUM
0

4/Mort sûre de la vie.
Collège Pierre Brossolette 1
xx xxxx xxxxxxx xxxx, x’éxxxx xxxx xx xxxxx éxxxx xxx xxxx xxx, xx x’xx xxx à xx xxxxx xxxxèxx xx xxxxxxx xxxxxxx xxx xxxx. xxxx xxx xxxx xx xx xèxx, xx xxxx xxxx xx xxx xèxx, xx xxxx xxx xxxx xxx xxxxèx x’xxx, xx xxxxxxx. xxx xxxxxxx x’xù x’xx xxxxx, xxxx xxxxx xx xxxxxx xxxxxx xxxxx, xxxx, xéxxxxx xx xxxxx, xxxx xx xxxxxx xxx xx xxxxéxxxxx. xxxxxé xxxxxx xxx xxèxxx, xxxx x’xxxxx xxx xxx xêxxx xxxxxxxxx xx xxxx xx xxxxxxxé, xxxxxxxx xx xxxxxxxxxé. xxx xxxxx éxxxxxx à xx xxxxx, xxxxx, xx x’xxxxxxx xxxx xx xxxxx, xxèx xxxxxé xx xxx xxxxxxx, xx xxx xxxxxxxx xxxxxxxxxx. xx xxxx xx xxx xxxxxxxxxxxx xx xxxx xxxxxé xxxx xxx xxxx : xxx xxx éxxxxxxx xx xxxxxx, xxxx, xxx xxxxxxx xxxx xxx xxxxx. xx xxxxxx xx xxxx xx xxxx, xx çx xxxx xxx xx xx xx xxxxxxx xxxx xx xxx. xxxx xx xxxxx xx xxxxxxxx xxxxxx, xxxx xxx, xx xx xxxx xxxxxxx. xx xxxx xx xxxxxxxxxx xxxxx xx xxxxxx xx xxx xx xxxxx, xx xxxxxx xx xxxxxxxxxx xxxxxxxxx xx xxxxxx xx xxxxxxxx. xx xxxxxxx xx xxxxxxx xxxêxx xxxx xxx xxxxxxx. xxxxxxxx, xxxxxxxx xx xxxxxxxxx, xxxx xxx xxxxx xxxx xxxxxxx xxxxxxxx. xxxxxxx xx xx xéxxxxxxx à xx xxxxx xxxxx, xxxx êxxx xxxxxxxxxx xx xxxxxxxxx xxx xxx xxxxx, xxx xxxxx éxxxxxx xx xxxxx xxxé xx xxxxx xxxxxx, xxxxxx xxxxxxxxxé. xx xxxx xxxx xx xxxxxx, xxx xxxxx xxx xx xxxxx, xx xx xxxx xxxx xxx xxxxx, xxxx xxx xxxxxxxxxxx. xxxxxx xxx, x’éxxxx, xx xxxx xx x’xxxxx, xx xxxxxx xx x’éxxx, xx xéxxxxx xxx xxxx. xxxxx xxx xxxxx x xxxx, xx xxxx, "xxxx, xxxx" xxxx xx xxx x’xxxxxxx, x’xxxxxx xx xéxé. xxxxx x’xx xxxx à xxxxx, xx xxxx xxx "xxx-xxx". xxx xèxx xxxxxxx xx xxxx, xxx xxxxxxèxxx xxxxxx à xxxxxxx, xxx xxxxxxx xxxx xxxxxx xx xxxxxxé, xxx xxxxxx xxxx xxxx xxx xxxxxxx. xxx xxxxxxxx xéxxxéxx à xx xxxxxxèxx, xx xxxxxxxxxxxx xxxxxxxx, x’xxx xx xxx xx xx xxxxxx, xx xxxxx xxx xéxxxxx. xxxxxx xx xxxxxx xxxx xxxxx xxxxxxéxx, xxxxxéxx xxx xx xxxxx à xxxxxxx xxxxxxxéxx, xxxxxxxxxx xxxxx, à x’xxx xxxxxé, xxxxxxxx xxxxx xxxxx xxxx-xxxéx. xxxxxx xxx xéxxxxxxxxx xxxx xx xéxxxxxxxx, xx xxxxxxxxx xxxx xxxxxx xx xxx xxxx, xx xxxxx à xxxxx xx xx xxxxxxxxx, x’xxxxxxxx xxxxxxxx xxx xxx. xxxx xx xxxxx xxxxxxxxx, xxxxx xxxxxxxx, xxxxèxx xxxxxxxxxxx, xxxx xxxx, xéxxxxéx, xxxx xéxxxxxxxx ! xxxxx xxxx xxx xxxxxxxxxx. xxxxxxxxxxx x’xxxéxxxxx xxxxxxx, xx xxxxxxxxxé xxxxxxxxxxx, xxxxx xxxxxxxx x’xxx xxxxxx, xxxx x’xxxxé x’xxx xxx xxxxxxxx. xx xxxxxxx xxxxx, xxx xxxxx, xxxxxxxxx. xx xxxxx x’xxxxxx xxxx : xxxxé, xxéxxxx, xxxxx xà xù xx xx xxxx xxxx, xù xx xxxx xxxx, (...) class='autobr' /> Suspendu à la vie, avançant vers la mort.
Funambule de mon esprit, je suis, je fuis.
Spectateur ahuri, incompris, je souris.

Mon esprit comme mis en cage,
Les douleurs de mon enfance,
Ma vie, triste paysage,
Prend aujourd’hui tout son sens.

SCRIPT | Collège Pierre Brossolette 1
FORUM
0

Phase d’édition et d’illustration - Ne pas écrire dans cette case
Pauline JUNIER-GAUTEYROUX

Ne pas écrire dans cette case

SCRIPT | Pauline JUNIER-GAUTEYROUX

Ne pas écrire dans cette case