se connecter
Identifiants personnels

mot de passe oublié ?

Utiliser l'authentification centralisée [Utiliser l'authentification centralisée]
script forum écrire
Prologue

La décision de quitter la ville pour s’installer à la campagne murissait depuis plusieurs années dans l’esprit de Monsieur et Madame Morin-Diallo. Les problèmes d’asthme de Sarah, la petite dernière, et les plaintes incessantes des voisins lorsque les jumeaux Lucas et Salomon jouaient dans la cour de leur résidence du centre-ville de Lyon avaient fini par les convaincre de faire le grand saut. Alors, un matin d’août, les cinq Lyonnais accompagnés de leur chien et de leur chat s’étaient installés dans un coin reculé d’Ardèche au bord de la rivière la Bourges, dans une jolie maison de pierre abandonnée depuis seulement six mois. La santé déclinante du couple de retraités qui y avait vécu les avait poussés à rejoindre la vallée non loin d’un centre hospitalier et des services qu’il proposait aux personnes âgées. Les parents Morin-Diallo, Laurence et Driss, tout sourires, se réjouissaient. Enfin ils réalisaient leur rêve, offraient à leurs enfants de sept et douze ans un cadre de vie proche de la vie sauvage, où l’air était peu pollué et qui permettrait à leur progéniture d’évoluer au grand air, dans un milieu sain au plus près de la nature. Dès les premiers jours, la respiration de Sarah se fit plus fluide, aucun accès de toux à déplorer, son teint s’était éclairci, elle était radieuse, son père et sa mère s’en félicitait. Quant aux garçons, ils n’en revenaient pas de disposer d’un terrain de jeu qui leur semblait illimité. Ils couraient dans les bois, dévalaient les pentes à s’en couper le souffle, sautaient dans les cascades, s’aspergeaient d’eau dans la rivière, hurlant et riant sans déranger personne, un vrai bonheur.
Or, ce dont aucun d’entre eux ne se doutait, c’était que le vide de la maison qu’ils venaient d’investir n’était qu’apparent. En effet, cachés dans les nombreux recoins des deux étages que les Morin-Diallo occupaient, ainsi que dans le grenier, dans la cave, au beau milieu de ce qui avait été un potager, sur la rivière et partout sur ses rives, fourmillait un grand nombre d’espèces de la faune et de la flore locale. Des bactéries invisibles à l’œil nu, des insectes plus ou moins faciles à vivre, des reptiles surtout de petites tailles, des mammifères petits et grands, jusqu’aux oiseaux qui volaient librement au-dessus de la nouvelle demeure de Laurence et de Driss. Sans le savoir, les cinq bipèdes citadins et leurs deux animaux de compagnie bouleversaient tout un écosystème qui avait appris à exister sans devoir composer avec des humains.
Laurence entreprit d’abord de s’occuper du jardin qu’elle voulait rendre joli. Elle s’arma d’une énorme paire de ciseaux en métal et d’autres ustensiles et commença par se charger des mauvaises herbes : elle défrichait, éliminait toutes les plantes qui lui semblaient laides ou inutiles, une hécatombe. Dans la remise, Driss fut ravi de trouver une tondeuse à gazon dont le réservoir contenait encore suffisamment de carburant. Afin de rendre les alentours de leur propriété plus ordonnée, il sortit l’engin, et l’alluma. Un bruit de moteur vint perturber le calme à une centaine de mètres à la ronde, semant l’effroi dans la nature, d’autant que la fumée noire qui s’en échappait était irrespirable. Alors qu’ils jouaient dans le lit de la rivière, les deux garçons n’hésitaient pas à s’emparer de cailloux qu’ils jetaient à la surface pour s’éclabousser, sans se rendre compte qu’ils retiraient leurs abris à des crustacés livrés subitement sans secours aux attaques de leurs prédateurs. Leur chien, encore jeune et turbulent, ne sachant plus où donner du museau, pourchassait les papillons affolés, creusait la terre en arrachant les racines nécessaires à la survie des plantes, ses jeux détruisaient aussi l’habitat d’insectes incapables de vivre au grand jour. Le chat aussi jubilait, il avait à sa disposition un vaste terrain de chasse où les rongeurs dont il raffolait, découvraient bien trop tard son habileté et sa redoutable efficacité. Le petit félin ne mit pas vingt-quatre heures à s’adapter à son nouvel environnement, il en devint le principal prédateur.
En se rencontrant, deux univers qui n’aspiraient pourtant qu’à vivre en paix entraient en collision. Mais, ignorés par les humains, c’était au monde des plantes et des animaux de réagir, d’observer attentivement le comportement des nouveaux venus afin de s’y adapter, puis de trouver rapidement les moyens de cohabiter avec ceux qu’ils considéraient comme des intrus qui leur compliquaient l’existence.



1/ Aux portes du désert marocain.
Marc Alexandre OHO BAMBE
« xxx xxxx xxxxxxxx ? » xxxxxx xx xxxxxxx, xx xx xxxxxxxxxx xxxx xxx xxxxxx xxxxxxxxxx xxxx xéxxxxxxéx. xx xxxx xxxxx xxxxxxxxx xxxxxxxxx xxx xxxxx xxxxx xxx xxx xéxà xxxx xxxxxé. xxxxxxxx xx xéxxxx. xxxxxxxx ? xx x’xx xxx xxx xxxxxxxx. xxx xxxèx xxxx xxx xxxxxxx xxxxxxxx, xxxx xxx xxxxxxxxxx xxxxxxxxx, xxx xxxxxxxxxxx xxxxxéxx. xxxxxxxx ? x’xxx xxxxxxxxxx xxxx xxx xxxxxx xxxx xxx xxxxxxx xxxxxxx, xx xxêxx x’xxxx, xxx xxxxxx xxxx xxêxx à xxxx xxxx xxx xxx xxxxxxxxx. xx xxx xxx xxxxxx xxxxxx ! xx xéxèxx xxxxxxx xx xxxx xx xxx. xx xxx xxx xxxxxx xxxxxx ! x’xxx xxx xxx x’xxxxx, xxxx xxxxxxx, xxxxxxxx xxxxxxx, xxxx xx xxxxxxxxx, xx xéxxxx xx xx xxxxx xx xxx xêxxx. xêxxx xx’xx xxxxx, à x’xxxxx xx xx xxxxx xéxxxxéx. xx x’xxx xxx xxxxx xxxxx, xxx xxxxxxx xxxxxxxxx xxxé. xxx xxx xx xêxx âxx. xx xx xêxx xxxxxxx xxxx xxx xxxx xx xx xxxxxxx. xx xxx xxx xxx xxx, xxx xxxèxx xxxxx. xxèx xxxx xxxxx xxx, x’xxx x’éxxxxxxx xx x’xxxxxé, xxxxxxxxxé x’âxxx xéxxxxxéxx. xxèx xxxx, xxx xxxxxx xxxxxxxx, éxxxxx à (...) textes naissent, écrits à quatre mains.

Sur la route. Yaguine, Fodé et d’autres compagnons d’infortune, Isma, Ibra, Luc, Estelle, Félicité et vous. Face à une mer de sable qui s’étend à l’infini, et à cette conscience si humaine, que la douleur s’allège, quand on la partage. Bonjour mon frère, bonjour ma sœur, comment va ta douleur… ?

SCRIPT | Marc Alexandre OHO BAMBE

Je pars :

Pourquoi on part :

FORUM
0

2/ Et toi, pourquoi tu pars ?
Collège Laurent Mourguet
xxxxxxx xxx xxèxx, xxxxxxx xx xœxx, xxxxxxx xx xx xxxxxxx… ? xxxxà xx xxx xxxxxxx xxxxxxxxx xx xxxxxxx xx xxxxxx. xx xxxxxx x xéxxxé xx x’xxxêxxx xxèx x’xxx xxxxx. xxxx xxxxxxxx xx xxxxxxx x’xx xxxxxx xxx xxxx xxxxxxxx xxxx xx xxxx xxxxx’à xx xxx xxxx x’xxxx xxxx x’xxxxxx xxxx xxxxxxxxx, éxxxxéx xéxà xxxx xxxxxx x’xxxéxxxxx. xxxx xxxxà à x’xxxxéx xx xéxxxx, xxx xx xxxxxx xxxxx xxxx xxxxx. xxxé xxxx xx xxx xxx xxx xxxxxéx xx xxxxxx xx xxx xxxx. xx xxxx xxxxxxxx à xxxxxx, xéxxxxxé x’xxxxxxxxx x’xxx xxxxxxxxxx xxxxx xx xxxxx xx xxxx xxxxxxxxxx xxxx xxxx-xêxx xxxx xxxxxxx xxx xéxxxx : « ... xxx xèxx xx xxxx xx xx xxxxxxxxx xx xx xxx xx xxxxxx. xx xèxx xxx xxxxxx xxxxxx xxxxxxxx xxxxxxxx. xxx éxxx x’xxxxxxx. xx xxxxxx xxx xèxx xxxxx xxxx xxxxxxé xxx xx xxxxx xx xxxxxx xxxx xxxxxxx xxx xxxxx xxxxxxxx xx xx xxéxxx. xx x’x xxxxxxé xx xxxxxx xxxx xxx xxxxx à xxxxxé xéxxxxéx xx’xx xx xxxxx. xx xxxx xxxx xxxxxx xxxèx xxxxx xxxxxxxxé xxx xxxxxxxx... » xx xxxx xxx xxxxx, xxxx x’xxxxxxxx à xxxxx. « x’xx xxxxxé xx xxxx... xxxèx xx xxxxxxèxx, x’xx xxxxxxxxé xxx xx xxxxxxx. » xxxxxxx xxx xxèxx, xxxxxxx xx xœxx, xxxxxxx xx xx xxxxxxx… ? « xx xxxxxx x éxxxxé xx xxxx xxxxx xû xxxxxxx xx xxxxxxx xx xxxxxxxx xxx xxxxxxxx xxx xx xxxxxxxxx xxx xxxxxxx xxxx xxxxxxxx. xx xéxxx xx xxxxxx xxxx x’xxxxxx xxx xxxxx xx xxxx xxxx xxxxxxx, xxxxxxxxxxxx xxxx xxxxx xxxxxé xx xxxxx xxxxxxxx xxx, xxxxxx xxxxxxxx xxèxxx, xxxx x xxxxé xx xxxx xxxxxx xx xx x’xxx. xx x xxxxxxxé xx xxxx xxxx xxxxxèxx xx xxxx xxxxx xxxxçx xéxxxxxé xxx xxxx xxxxx xxxxxxxx. » « xxx-xx-xxx xxxx xxxxx xéxà xxxxé à xxxxxx xx xxxxxx ? » xxxxxxx xxx xxèxx, xxxxxxx xx xœxx, xxxxxxx xx xx xxxxxxx… ? xxxxxxx xxx xéxà xxxxxx xx xxxxxx. xxx xèxx xxxxxxx xx xxxxxx xx xxxxx xxxx xx xxxxx xxxxx xx xxxx xxéxéxxxx xxxxx xxx éxxxxx xx xx xxxxxx xxxx xxxx xxxx xxxxxx’xx xx’xxxx xxxxxxxx. xxxx x xxx. xxx xxxéxxxxxx x éxé xxxxxxxxxxx. xx xxxxxxxx xx xxxxxx, xxxx x xxxxxé xx xéxxxx xx xxxxx xx xéxxxx xxx xéxxxxé xxxx xxxxx xx xxxx xx xxxxx xxx xxxxxxxxx xxx x’xéxxxxxxxxxx xxxx xxxèx xxx xxxx xx xxxxxxx xxxxxxé, xxxx xxxx xxx xxxxxxxx xxxx xxx xxxxxxxxx xxx éxé xxxxxxéx xxx xxx x’xxxxxxxxxx xxxx à xxxxx. xxxx xxx xxx xx êxxx xxxéx xxxx xxx xxxxxxx xxx xxxxxxx. xxxx xx xxx x xxxx xxxxxx xxxxx. xxxxxxx x’xxx xxxxxxxéx xxxx xx xxx. xx xxxxxx x’x xxxxxxxx. x’x xxxxxxxxxx xx xxxx. xx xxxxx. xx xxxx. xxxx xxxxxx xxxx xéxxxxxxéx à xxxxx xxx xxxxxxxx xxx. xxxé xxxxx xxxxxxxxxxxxx xx xxxx. xx xxxxx xxx xxxxxx. xxxxxxx xxxxxxx xxxxxxx xxx xxèxx, xxxxxxx xx xœxx, xxxxxxx xx xx xxxxxxx… ? xxxx xxx xé xxxx xxx xxxxxxx xxèx xxxxxx. xx xx xxx xxx xx xxxx xxxx xx xx xxxx xxxxxxx. xx xéxxxxxxxx x xxxxxé xxx xxxxxx xx xxxx x’xxxxxxxx xxx xxxxxxxx x xxxxé xxx xxxxxèxxx xéxxxxxx. xx x’x xxéxxxx xxxxxxxx. xx xxxxx, xx xxx xxxxx. xxxxx xxx xxxxxxx xxxx xéxéxéx xxxx xx xxxxxxxx xxxxxxxx, xxxx x’xxx xxxx xxxxxxx xx xxx xxxxxxx. xx x’xx xxx xxx xxxxxxxxx. xxxé xxx xxxxx xx xxxxxxx xx xxxx xxx xx xxxxxx xxx xx xéxxxxx éxxxx xxxx xxxx. xxxxxxx xxxxxxxx xx xxx xxx xxxé xxxxxxxîx xxxéxxxxxxxxx xx xx’xx xxxxxxxx à xxxxxxx : « xxx xxx xèxx x xxxxxxxxé à xx xxxx xxxx xx xxx x’xx xx x’xxxxxxxx xx xxxxxxx xxxxx, x’xx xx xx xx’xx xxxxx xx xxxxxxxx xxx, xxxx xx xéxxxxxx xx x’âxx xxxx xxxxxxxxx, x’éxxxx xxxxx xx xxxxxx... » xxxxxxx xx xxxé xx xxxxxxxxx xx xxxxxxxx. xxxx éxxxxé xxx xxxx xxxxxxxxxxx x’xxxxxxx : « xxxx êxxx xxxxx ! » xxxxxxx xx xxxé xx xxxxxxxxxxx xéxà xxxxxx xxxx xxxxxxxxx. xxxé xxx : « xxxxxxx xx xxx xxxxx xxxxxé xxxxx xxxxxxx xxxx xéxxxxxx xxxxx xêxx, xxxxxxx xxxxxxxx xx xxxxxx . xxxxxx xxxxxxxx xxxx xxxxxxx xx xxx ! » xxxxx à xxxx, xxxx xxxxxx xxxxxxx xx xéxxxxx xx xx xxx xxxxxx xx xx xxxxéx. xx xxxxxx xxx xx xxxx xxxxxxx à xxxxxxxxx xx xxxx xxxx xxxxxx, xxxxxx xx xxxx. xxxx xxxxxx xxxx xxxx xx xéxxxxxx xéxà xxxxé. xxx xxxxxx xxxx xêxx xxx xx xxxx. xx xxxxxxxxx xxxxxxx à xxxxxx x’xxxxx xxxx xx xxxxx. xxxxx xxxx xxxx xxxxé xxxxx xxxxxx, xxxx xxxx xxxxxxxxx xx xxxx xx xxxxxx, xà xù xx xxxx xxxx xxxxx xx xù xx xxxxx xx xxx xx xxxxx. xx xxxxxx xxxxx. xxx xxxxxxxxx xxxx xxxxxxxxxx xxxx xxx xxxxxx. xxxxxx xxxxxxxx xxxxxxxx xxx xxxxxxxx xx xxx xxxxxx à xx xxxxxxxxx x’xxxxxx xxxx xxxxx xx xxxxxxxxx xxxxxx. xx xxxxxx xxxxx. xxxxxxxxx xxxxxx xxxèx xx xéxxxx, xxxx xx xxxx, xx xxxxxxxxx x’xxxêxx, xxxxx xx xxxxxx xx xxxxxxx à xxxxxx xxxxxxxx xxx xxxxxxxx xxxxx. xxxxx xxxx x’xxxx xxxx xxxxx x’xxxxxx, xx xxxx xxxxxxx xx xxxxxx. xxxxxxx xx xxxxxxxx. xxxxx xxxx (...) poursuite voyage. Le camion roule. Plusieurs heures après le départ, dans la nuit, le chauffeur s’arrête, coupe le moteur et demande à chaque passager une nouvelle somme. Comme vous n’avez plus assez d’argent, il vous demande de sortir. Inutile de discuter. Quand vous êtes tous sortis, la portière claque et le camion redémarre. Vous êtes aux portes d’une ville.

SCRIPT | Collège Laurent Mourguet

Ecrivez ici le contenu de la fiche script...

FORUM
0

« La vie est un songe »
xxxxx xxx xxxxxx xxxx xx xêxx xxxxx, xxxxxxxxxx xx xêxx xxxèxx, xxx xxxx xxxx éxxxxéx. xxxxxxxx xx xxxx xxxx xxx x’xxxxxx. xxx xx x’xxxxxxxxxxx xxx à xx xxx xxxx « xxxxxx » xxxx xx xxxx, xx éxxxxxxxx, xx xéxxxxxxx – xxïxxxé xx xxxxxé xx x’xxxxxxxxxxx ? xx xxxxxxxx xxx xx xxxxxx x xxxé xxx xxx xx xxxxx, xxx xxxxxxx xxx xxxxxéx, xxx xêxxxxxxx xxxx xxxxxxx xxxxéx. xxxxxxx xx xxxé xx xxxx xxx xxxxxxxxx, xxx xxxxx xxxx xxxxxxéx, éxxxxéx, xxx xxxxxxxx xx xxxxx xxxx xxx xxxxxxxx xxxxxé xxxx xx xxxxxxxx x’xxxxxx xx xxxxxx, xxx xxxxxxxx xx xxx xxxxxxx xxx xxx xx xxxx xûxx : xx xxx xx xxxxxx xxx xxxxxx, xxx xxxxxxxx xx xxx. xxxxxx, xxxx, x’xx xxxx xxxx.. xx xxxxxxx, xx xxxxxxx xxx xxxxxxxx... xxx xxxx xxxxx xx xx xèxx, xxx xxxxxx xxxxxxxx... xxxxxxx xxxxxx xxxxxx, xxxxxxxxxx xxxxxxxxx xxxxxéxx xxxx xx xéxxxxxxx xxxxxxxx xx xxxxxxx, x’xxxxx xx xxx-xx-xxxxxx... xx xxxxxxx x’xx xxx xxxxx xxxxxx x’xxxxx... xxx xèxx... xxx xèxx xxx xxxxxx xxxx. xxxx, xxx, x’xxx xxxx xx xxxxxxxxx ! xx xxxxx xx xxxx, x xxxxxxxx xxx xxxxéxx xxxxxxxxx. xêxx éxxxxé, xx xx xx x’xxxxx xxx x’xxxxxx xx xxxxxx, x’xxxxxx x’xx xxxxxx xxxxxxxx, x’xxxxxx xx xxxxxxx à xxxxxxx xêxxx... xxxx xx xxxxxxxxx xx xxxx xx x’âxx xx xx xxxxxxxxx xxxxxx : x’xxxxxx xxx xxxxxxxxxx. xxxx xêxxxx x’xx xxxxxx xxxx xxxxxxxx x’xxxxxx âxxx xxxx xêxxxx x’xx xxxxxxx xxxx éxxxxx xxx xxxxx xxxx xêxxxx x’xxx xxxxxx xxxx xxxxxxx xxx xxxxxx xxxx xêxxxx xx xxxxxxx xxxx x’xxxxx xx xxxxxxx xxxx xêxxxx xx xxxxxxxxx xxxxxx xxx x’xxxxxxxxxxx xxxx xêxxxx xx xxxx xx xxxxx xxxx xxxx xxx x’xxxxxxx xxxx xxxx xxxxxx xxxxx xxxxx xx xxxxxx * * * * * * xxxxxxxxx, xxxxx xxxxx xx- xxx … xxxxxxxx xx xxxxx, xxx xxxxxx xxxxxxxxx xxxxxxx xxxxxxxxx xx xxxxxxxx xx xxxxxx. xxxxx xxxxxxxx xxxxéx xxxxxxx xxxx x’xxxxx, x’xxx xxx xxxxxxxxèxx. xx xxxxxx xxx xxxxxx xxx xxxxxxxx, xxx xxxxx, xxx xxxxxx, xx xxxxxxx xxx xxxxxxxxx xx xxxxxxxx. xxxxxx xxxxx xxxxxxxxx ! xxxx xxxxxxxxx xxxxx x’xxxxx à xx xxxèxx xxx xxxxxxxx x’xxx xxèx xxxxxx xx xxxxx xxxxxéx : xx xxxxxxxxx, à x’xxxxx xx xx xxxxxx. xxxx xxxxxxxxxx xxx xxxxx xxxxx xxx xxxxxxxx xxxxxxxéx xxxx xxx éxxxxx xx xxxxxx xxxxxxxxx. xxxx xéxxxxxxxx xxxx xxx xxxxxxx xx xxxxx, xx xxxxxx xx xxxxx xxxxxxxxx, xxxxxxxxxxx... xxx xxxxxx xxxéxxxxxxxxx xxxx xxxxxxxxxx xxx xxxxxxx. xx xxxx xxx éxxxxx xx xxxxx. xxx xxxxxxx éxxxxxxx xx xx xxxxxx xxxxxxxx xx xxxxxx xx xx xxxxxx xxx xxxx xxxxxx xxx xxxx, xx xxxx xxx xxxx xxxx xxxxxx xxxxxx xxxxxx x’xxxxxx – xx xxx. xxx xxxxxxxxxx x’xxxxxxxxx xéxxxxxxxx xxxx xxx xxxxx xx xx xéxxxx à xx xxxxxxxxx xx xxxxxxxxxxxxxx, x’xx xxxxxxx xxx xxxxxxxxxx xxx xxxxx à xxxxxxxxx xxxx xxxxx. xxxx xxxxxx, xéxxxxxxéx, xéxxxxéx xxx xxxxxx xxxx x’xxxxxxxxx xx xxxxx xxxxxxx xx xxxxx xx xxxx. : - « xxxx xxxxxx à xx xxxxxxxxx x’xx xxxxxxx xxx xxxxxxxx xxxx xxxxx xxxxxxx xx xxxxx » – « xx xxxxxxx xxxx xx xxxxxxx » xéxxxx xx xxxxxxçxxx x. xxx.- « x’xxx xx xxxx xxxéxxxxxxé, xx xxx à xxx - xxxxxx … xx xxxx xxxx xxxxxxx xxxx xxxxxx xx xxxx xxxx xxx, x’xx xxxxxxx xxxxxx xx xxxx, xxxxxx xxxxxxxxxx ». x. xxx, xxxxxx, xxxxx xx xxxxxxx xxxxé xx xxx xxxxxxxxx, xx’xx xxx xxéxxxxxxx xx x’xxxxxéx xx xxx xxx xx xxxxx. x xx xxxx xxxxéx, xx xxxx xxxxxx xxx xxxxxxxxxx xxxxxxxxxx xxxx xxx xxxx xx xx xxxxxx xxxx xxxxxxx x’xxxxxxxxxxé. xx xéxxxxxxx xxxxx xxx xxxxxxx xxéxxxxxxxxx xxéxxxé xxx xxx xxxxxx xx xxxxxxxx... xx xxxxx xéxxxxxxx xxx xœxxx xxxxxxxxx xxxx xxxxx xx xxxèxx xxxx xxxxx xx xxxxx … xxx xxxxxxxx xxxxxxx, xxx xxxxxx xxxx xxx xéxxxx à xx xxxxx xx xxx x’xxxxxx xxâxx à x’xxxx xxx xxxx x xxxxxé xxx xxxxxxx xxxxxxxx xxxx xx xâxxxxxx xx xxx xxxxxxx xx xxxxxxx. xxx xxx xx xxxxxx xxxx xxx xxxxxx xxxxx, xx xxxx xx xx xxxxxéx xx xéxéxxxx xxxxx xxxxx. x’xxx xxxx xx xxxxxxxx xx xxxxxxxxx xxx xx xxxxxxéx xx xxx xxxxxxxxxx xx xxxxxxx xx xxxxxxx xxxxxxxx : x. xxx, xxxxxx xx xxx xxxxxx, xxx xxxxxxx xx x’xxxxxéx x’xxxxxx xx xxxx xêxx, à xx xxxx xxxxéx. xx xxxx xxxxx xxxx, xxx xxxxxxxxxx x’xxxxxxxxx xéxxxxxxxx xxxxx xxxéxxxxxx xxxxxxxx xx xx xxéxxxxxx à xxxxxx. xxxx xêxxxx x’êxxx xxxxxxx xx x’xxxxxxx xxx xxxxxxx xxxx xêxxxx xx xxxxxxx xx xx xxxx xx x’xxxxx xxxxxxxxxx xx xxxxx xxxx xêxxxx x’xxxxx xx xx xxxxxxx xxxxx x’xxxxxxxxx xx x’xxx xxxx xêxxxx x’êxxx xx xxxxx xxxx xxxxxxxx xxxx xxx xxxxxxx xxxx xêxxxx x’éxxxxxé, x’xxxxxxxé xx xéxéxxxé, xx xxxxxxxxxé * * * * * * xxx xxxxxx xx xx xxxxx x’xxxxxxxxx, x’xxxxxxxxx xx xxx xxx xxxxxx... xx xxxxx x’éxxxx à xxxxxxx à xxxxx xx xxx. xxxx xxxxx xxxxxé xxxxxxxxx xxxxxx xx xxxxx xxxx xxxxx xxxxxxxxx xxxxxx. xxxx xxxéxxxx xx’à xxxxxx xx xx xxxxx, xxxx xxxxxxxx xxxxxxxxx x’xxxxxxx xxx xxxxxx. xx xéxxxx xxx xxxx xxxxxxx xx xxxxxxxxx xx x’xxxxxx xxx xxxx xxxx xxx xxxxxx xx xx xxx xxxxx xxx xxxxxxxxxxé xx xéxxxxx. xxxé xx xxxxxxx xxxxxxx xxxx xxxx, xx xxxxxxx xxxxx xx xxxxxx. xx x’xxxxxèxx xx xxxxx xxxxxxxxx. xxxxxxx xxxxxx xxxx xxxxxxx à xxxxxx ? xx’xxxxxx (...) nous faire en Espagne ? si nous parvenons jusque là.

Nous rêvons. Ils rêvent. Elles rêvent. Nous imaginons comment la vie- non- notre vie peut prendre un nouveau tournant. Quelque fois, l’espace d’un instant, nous nous remémorons le poème du vieux passeur, il nous le récitait « pour le moral » comme il disait.

SCRIPT |

René Magritte, Le retour, 1940, MRBAB, Bruxelles et la programmation du festival Mad Cool à Madrid

FORUM
2

4/ La nueva vida !
Collège Jean Moulin
xxx xxxxxxxxxx x’xxxxxxxxx, xxxxx xx xéxxxxx, xxxxxx xx xxxx xxxxxx xx xx xxxxxxxx xxxxxxxxx xxxxxxxx xxxx x’xxxxxx xx xxxxxxx xx xxxx xx xxxxx xxx xxx xxxx xxxx xêxxx : xxxxxx. xxxx xxxxxxx x xxxxxxx xxxxx xxx xxxx xx xxxxxx xxx xù xxxx xxxxxx ? xxxèx xxxxxxxx xxxxxx xx xxxx xxx âxx xxxxxxxxxx xxxx xxxx xxxxx. x’xxx xx xxxxx xxxxx xxxxxxxx xx xxxxxxxx. xxxx xxx xxxxxxxxx xxx xxxxxx xx xéxxxxxxxx xxx xx xxxxxxxx xx xxx xxxxx à xxxxxx xx xxxx xxxxxxx xx xxxxxx xxxx xxx xxxx xxx xxxxxxxx xxxxxx xxx xxxx xéxxxxxx xx xxxxx xxxxxxxxxxx. xxxx xxxxxxxxxx x’xxxxx xx xxxx xxxxx xxxxxx xà xù xxxxxxxx xxxxx xxxxxxxx xxx. xx xxxxx xxxxxx xx xxxxxx, xxxx xxxx xéxxxxxx xxx xx xxxx xxxx xxxxxxx xx xxxxxx. xxxx xxxxxxxxx xxx xx xxxxxxx xx xxxx xx xxxé, xx xxx xx xxxx xxxxxxxxx xx xx xxxxx, x’xxx xx xxxxx xxxx xûx. xxxèx xx xxxxxxx xxxxxéxx éxxxxxxxxx, à xxxxxx xx à xxxxxx, xxxx xxxxx xx x’xxxxxxxxxxé xx xxxxxxx. xx xxxxxx xxxx xxxxxxxx xx xxxx xxxxxxxxx. xx xxxx, xx xxxxxx xxxxxxx à xxxxxxx xx xxxé xx xxxxxxx xxx xx xxèxx xx xxx. xxxx xx xxxxx xxx xxxxxxx, xx xxxxxxx x’xxxêxx xx xx xxxxxx xx xxx à xxxxxxxxx. xxxxxx xxxx, xxxxx xxxxxxxx xéxxxxxxx xxxx xx xxxxx. xxxxxx xxxx, xx xxxx xx xxxx xx xxxx xxxxxxxx xxx xxxxxxxx. xxx à xxx, xxâxx à xx xxxxxxx xx xxxxxxx xx xxxé, xx xxxé xxxxxx xx xxxxx xxxx xx xxxxx xx xxxx xxxxxx xxxx éxxxxxx xxx xxxx xxxx. xx xxxx xx xxxxxxxx xxxxxxxxxx, xxxxx xxxxx x’x xxxxx xxxxxxxxxxxx xx xxx éxxxxxxxx xxxxxxxxéxx xxxx xéxxxxxx xx xxxx x xxxxxx. x’xxx xx xxxx xxxxx xxxxxxxx x’xxxxxxx, xxxx xxx xxxxxx xxxxxxxxxxx xxxxxx xxéxxxxx. xxx xx xxxxxxx xxx xxxxx xxxx xxxxxx. xxxèx xxxxxxxxx xxxxx x’xxxxéxxxxxxx, x’xxx xx xxxx x. xxx xx xxxxxxx xx xxxxxx xxxxx xx xxxxx. xx xxxxxx xxx xxxêxx : « xxxxxxxx ! xx xxxxxx xxx ! ». xx xxxxxx xxxxx. xxxxxxx xx xxxxx xxxxxx : « xx xxx xxxxxxx, xxxxxxx xxx ». xxxx xx xx xxéxxxxx : xxxxx, xéxxxxxxx xxxxxxxxx, xx xxxxxxé xx xxx. xx xxx xxxèxx xx xxxxxxxx xx xxx xxxxxx xx x’xxxxéx xxx xxxxxxxx. xxx xxxx xxxx xxxx xxxxxxxxxxxéx xxx xx xxxxxxxx xxx xxxxxxxxx xx xx xx xxèxx. xxx xxxxx xx xxxxxx xxx xxxxxxx xxxx xx’xxx xxxxx xâxx xx xxxxxx xxx xxèxx. xxxxxxxxx, xxx xxxxxxx xxxxx xx xxxxxxx, xx xxxxxxxx xx xxxxxxx : xx xxxxxxxx xx xxxxxxxx xx xxxxxxxx. xxxèx xéxxxxxx xx xéxxxxxxx, xxxxxxx xx xxxé xxxxxxxx xxxxx xx xéxxxxxx xx xxxxxx xxx xxèxx, à xx xxxxxxxx xéxéxxxx. xx xxxxx xxx xxx xxxxxxx xxxxxxxx xxxx xxx xxxxx xxxxxx, xxx xxxxxxxxxx à xxxxxxx. xx xxxxxx, xéxxxxxx xxx xxxxxèxxx xxxxxxx à xx xxx xx xxx xxxxxxxx, xx xxxxxx xxxxxéxxx xxx xxxxx xxxxxx xxxxxxxxx xx xxxxx xxxxxxxxxx xxxx. xx xxxxxxx x’xxxêxx. xxxxxxx xxxx x’xxxxxxxéx. xxxxxxx, xx xxxxxxxx x’xxxxxxxxxxxxxxx xxx xxxxxxx à xxxxxx xxxx xxx xéxxxxxx. xx xxxxx xxx éxxxxxxxxéx, xxxxxéx xx xœxx xxx xxx xxxxxxx. xxxxx xxx xxxxxxx xx xxxé xx xxxxxxxx xxx, xxxx xxxxxxxxxx x éxé xxxxxxxxxxx. xxx xxxxx xxxxxx, xxxxxxxxx, xxxxxxxxx xx xxxxxxx à xxxxxxx xx xxxxx. xx xxxxxxxx xxxxx xxxxxxxxx, xxx xxxéxx xxxxxxx xxx xxxxxxxx xx xxxx xx xxxx (...) morceau à travers le monde. En quelques jours seulement, les vidéos passent les millions de vues et tout s’emballe. Des gens s’arrêtent devant le café où ils travaillent. On les reconnaît dans la rue, on leur propose sponsor, gloire et fortune et il raconte leur histoire. Cette histoire incroyable que leur chanson a bâtie, ils se rappelleront toujours de cette chanson.

SCRIPT | Collège Jean Moulin
FORUM
0

5/ Titre du chapitre
SCRIPT |